mercredi 16 avril 2014

Commune de Saint-Thélo (22). Terre de tisserands.






Eglise paroissiale de Saint-Thélo.
Style contre-reforme.
Technique HDR.


Eglise paroissiale. Commune de Saint-Thélo dans les Côtes d'Armor.

La commune de Saint-Thélo se trouve au sud de la ville de Saint-Brieuc à 39 km. Elle était habitée par 1501 Thélossiens  aux XIXè et par 432 en 2014. Située dans un territoire accidenté et boisé, elle est traversée par de nombreux cours d'eau. L'église est dédiée à saint Thélo ou Theliaw, évêque auparavant de Landaff, dans le pays de Galles. Sa fête est célébrée le dimanche qui suit le 9 février. Cette église est du XVII*siècle et possède un beau retable de cette époque. 
 
 
 
 















Mairie de Saint-Thélo.
Technique HDR.
 
 
 
Quelques points culminants: Lebourg,104m; le Canton, 185m.; la Lande-au-Loup, 207m.

Il y a abondance de schiste talqueux et quarts.

Quelques maires au cours du temps: en 1790, C. Boscher de Langle ; en 1795 Julien Gabriel Marquer ; en 1803, G. Boscher de Langle; en 1819 Pierre Boscher de Langle ; 1829 Jean Baptiste Jouanigot ;  en 1834, Duaul; en 1843, Le Mâo; en 1852 Ollitrault ; en 1869, Guillaume Lecoq ; 1936 Victor Marsoin ; 2001 à 2014 Daniel Le Goff.
 
    
 


Nef centrale et chœur.

En forme de croix, la première pierre fut posée en 1668 et comprend une nef avec bas côtés de quatre travées et un chœur avec chevet à pans coupés. Au droit de la dernière travée, deux chapelles en ailes forment les bras de la croix, celle du sud à peine débordante. La chapelle des fonts est accolée au clocher et l’église possède un petit porche au nord et un plus important au sud.

La tour porte le millésime de 1668 et le porche sud celui de 1673 avec les noms de M Olivier Lecoidic, recteur, et de M Jean Jégo, vicaire. Le chevet n’a été construit qu’en 1696.
 
 
 
 
 
 
 




Vue de la chapelle nord et du retable du choeur.


Mobilier.

Trois retables de la fin du XVII siècle, chaire à prêcher portant le nom de Jean Caillibotte (recteur de 1687 à 1717) ; statues anciennes de Sainte Barbe et de Saint Laurent ; et, parmi les modernes, de Saint Thélo. 














Sculpture de Sainte-Barbe sur le retable sud.

L’architecture de l’église de Saint-Thélo suit le modèle tracé par la Contre-Reforme : une austérité extérieure contraste avec l’exubérante ornementation à l’intérieur des autels et des retables sur lesquels se porte l’attention pendant les célébrations liturgiques.

Sur les pierres de l’église existent des inscriptions gravées afin de nous orienter sur le fil du temps : sur la tour du clocher 1668, sur le porche sud 1673, sur le retable du collatéral sud 1675 et pour le chevet 1696.
 
 
 
 
 
 
 





Retable sud.
La Vierge Marie et Jésus.
En hau, Sainte-Barbe.

 Les registres du conseil paroissial indiquent qu’en 1720 sont envisagés la peinture des retables, le vitrage des ouvertures et la réfection du plancher. En 1731, bien que le pavage ne soit pas encore achevé, la chapelle des fonds baptismaux est en cours de construction. François Glais, l’un des plus riches marchands de toiles de Saint-Thélo, prendra en charge son financement car il veut qu’elle devienne la chapelle mortuaire de sa famille. Puis Yves Glais fera élever le calvaire au nord de l’église en 1732.

Ces dates couvrent moins d’un siècle (1660 à1730) et correspondent à la période de prospérité qui se développa sur la région grâce à la fabrication des Toiles « Bretagne », enrichissant la commune de Saint-Thélo et favorisant son accroissement. Tant autour du bourg qu’à la campagne, les commerçants  prospères ont de quoi bâtir de belles demeures et se sentent solidaires pour financer l’église et son mobilier, à l’instar de Pierre Mouliner et Mathurin Rolland, commanditaires du retable situé dans le collatéral sud. 
 
 
 
 
 
 
 





Retable du choeur.
Peinture de l'Ascension de Jésus.
Sculptures de Ste-Anne à droite et St-Lubin à gauche.
Technique HDR.


Saint Thélliau. Evêque et confesseur du VIè siècle.

Je suis le texte de "Histoire littéraire de la France". Voir bibliographie en bas.

On ne saurait pas dire pour quoi ces deux saints gaulois Saint Teliau, évêque de Llandaff (Galles), et de saint David, archevêque de l’antique Menevia (Saint David’s), appartiennent à l’histoire française étant donné qu’ils n’ont eu aucune popularité en France. Mais quand même, le traducteur de la vie de saint Teliau s’est nommé et a daté son œuvre. On lit en effet ces mots à la fin de la version : « Ci fenist la vie de saint Thelian (sic), translatée de latin » en françois, que mestre Guillaume des Nés translata l’an mil .iii. et xxv., le jour de saint Michel Arcange ». Les deux vies se suivent dans l’unique copie que nous en possédons, et la traduction en est également médiocre ; le style en est lourd, et les erreurs y sont nombreuses, surtout dans la traduction des noms de lieux. 
 
 
 
 
 
 
 
 




Chapelle nord.
 Néanmoins, le 9 février est honoré en Bretagne Saint Teliau et a donné son nom à cette commune du département des Côtes-du-Nord appelée Saint-Thélo. Ce culte, s’agit-il d’un  souvenir du séjour de sept ans et sept mois que ce saint aurait-t-il fait auprès de saint Sanson, évêque de Dol (Voir Lobineau) ? Est-il dû, par contre, à quelque apport de reliques dont on n’a, du reste, conservé aucune trace ?

Cependant, ce saint est présent en Bretagne et pour Saint-Thélo plusieurs noms existent et donnent leur nom à plusieurs communes.

Nous trouvons les noms Teliaw (saint) et Eliaw dans : Ple-deliau auj. Pledeliac (Anc Ev., III, 52 en 1219) ; Landeliau en Plevin (C du N) ; saint Thélo, en 1181 san Theliaut (Anc. Ev., VI, 141) ; saint Eliau en Bubry (Morb) ; Landeleau, paroisse du Fin où l’on trouve une statue de saint Teleau sur un cerf (Bull. C. D. 1901, p. 117). En Landeleau, un dolmen dit Ty Sant Heleau (Ep. Préh., p. 177). Dans cette paroisse, on trouve aussi Goaremo sant Elau, Gueen sant Elau (arbre de saint Elau) ; Parc sant Elau bras et bihan. 
 
 
 
 
 
 
 




Vitrail nord de Saint-Thelo.


Il y a la possibilité aussi qu’il y ait eu ici confusion entre deux saints peut-être différents : Landeloi (cart. Coris. 1396 ; Bull. C. D. 154) ; Ecclesia sancti Deleui (ibid 1220) ; Lan-telau 1368 (Chrest. 232) ; cf. Llan-elyw en Pembrokeshire ; Llan-elwy en Denbigshire ; Llan-dylwyf, qui est bien près de Lan-deloi, en Pembrokeshire (Ree, Essay, 348). En revanche saint Hilio en Saint-Pabu doit être lu Tilio pour Telio. Galles : L’œuvre de Llandav ne donne pas moins de 25 Lan-Teliau, que plus tard deviendront Llan-deilo.


Probablement, les chercheurs ont déjà dévoilé cette confusion.

Pour la vie de Saint-Thélo, j'ai consulté et copié le texte de Lobineau, in "Histoire des saints de Bretagne", Rennes, 1724.
 
 
 
 
 
 
 
 










Vitrail sud de Saint-Guillaume.

Saint Théliau était probablement fils d’un noble nommé Enfic, ou Ecnic, du pays des Demetes ou de Cardigan au Royaume Uni proche parent des Rois, mais il ne semble pas probale qu’il fût neveu de saint David, fils d’une de ses sœurs, comme l’a dit Usserius, sans citer de sources fiables.

Cependant, Usserius cite le registre de Landaff, comme une de ses antiquités de l’Eglise de Bretagne pour dire que Guen-haf, fille de Linonvi, était la mère de Saint-Theliau. Ce n’est pas sûr que Theliau soit le premier nom de ce saint, ou un surnom qu’on lui donna. Les historiens disent qu’il fut appelé Helios, (le Soleil, prononcé par les Bretons Eliud) à cause des ses vertus, sa science extraordinaire, et son admirable talent pour la prédication. Mais, à l’envers, il serait possible que ce nom d’Eliud lui a été donné par allusion à celui de Théliau. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




Saint-Joseph et l'enfant Jésus.
Technique HDR.

Usserius croit, par le rapport entre les noms d’Eliud, de Theliau, et de Helios, que saint Theliau pourrait bien être la même personne que saint Samson : car en arabe et en hebreu Samson signifie aussi le Soleil (Semés) et, continue Usserius, que les moines Bretons ont donné à leur Helios ou Eliud le nom de Samson. Cela est invraisemblable car les actes de ces deux saints sont tellement différents comme de deux personnes entièrement distinctes. Cela dit, on peut assurer que cette analogie dans leurs noms est le produit du hasard.

Theliau fut élevé avec beaucoup de soin sous saint Dubrice, et il eut pour compagnon ce même Samson avec qui Usserius le veut confondre. Il eut ensuite pour maître saint Paulin disciple de saint Germain d’Auxerre. On dit qu’averti par un Ange, il accompagna saint David son condisciple dans l’école de Paulin, et saint Patern, à Jerusalem, et qu’il y fut ordonné Evêque, comme eux, par le Patriarche. Quelque irrégulière que soit une pareille promotion, elle est expressément marquée dans les différentes histoires de ces trois Saints, et celle de saint Theliau rapporte en particulier de lui quelques circonstances qui font voir son extrême humilité. Il faut dire nécessairement que ces trois Saints avaient été faits prêtres, avant qu’ils entreprirent le voyage.
 
 
 
 









Le Sacré-cœur.
Retable sud.

Theliau revenu dans son pays, honoré du caractère Episcopal, fut fait Evêque de Landaff par son maître saint Dubrice, qui se déchargea sur lui du soin de cette Eglise. Il la gouverna d’une manière si apostolique, que les peuples ne s’aperçurent point qu’ils eussent changé de pasteur. Le même esprit qui avait conduit saint Dubrice, agissait en Theliau. L’oraison, la prédication, la pénitence et la charité étaient comme les seules occupations de sa vie, sans qu’il relâchât jamais de sa ferveur et de son zèle.

De son temps, la Cambrie fut cruellement agitée d’une peste, qu’on nomma la peste jaune, ou la jaunisse empestée, en Breton y gall velen, parce que tous ceux qui en étaient frappés, mouraient teints de cette couleur. Une nuée fort basse et qui semblait presque traîner sur terre, comme un brouillard épais et puant, l’engendra dans le pays. Les hommes et les bestiaux en étaient également saisis et tous ceux qu’elle attaquait, en mouraient infailliblement. Theliau, dans cette occasion, s’acquitta fidèlement de tous les devoirs d’un bon pasteur. 
 
 
 
 
 
 







Détail de la chaire à prêcher.

Mais quoiqu’il ne ménageât ni sa vie, ni ses biens, qu’il distribuait libéralement à tous les nécessiteux qui étaient attaqués de ce mal, la contagion le respecta toujours, et l’on aurait dit que le mauvais air le fuyait. Un jour qu’il s’offrait au Seigneur comme une victime pour son peuple, un Ange lui commanda de quitter le pays, avec ceux de son troupeau qui le voudraient suivre, et de les avertir qu’il n’y aurait que la fuite qui pût leur faire éviter la mort. Il obéit aussitôt, avec une partie de ceux que la contagion avait épargnés. Ils se réfugièrent tous ensemble dans l’Armorique, d’où quelques-uns entrèrent plus avant dans le pays. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 












Nef centrale.
Le Christ crucifié.


Theliau vint d’abord voir son beau-frère Budic Comte de Cornouaille et sa sœur la Comtesse Anaumed, et séjourna quelques mois chez eux ; mais préférant la compagnie des saints à celle des grands, il fut trouver à Dol son ami saint Samson et demeura sept ans et sept mois avec lui. On dit qu’il porta ce saint à planter le bois qui occupait autrefois toute la vallée de Dol, et qui avait trois lieues de long, et fut, à cause de lui, nommé le bois saint Théliau. 
 
 
 
 
 
 
 
 













Sainte Marguerite de Lisieux.

Après que la peste eut cessé dans la Cambrie, saint Theliau y retourna et y ramena son peuple. Il y fut, peu de temps après, honoré de la dignité de Métropolitain, à la place de saint David, à qui la peste avait empêché de donner plutôt un successeur. On ne dit point combien de temps le saint vécut après son retour. On marque seulement qu’il eut un très grand soin de faire revenir son peuple dispersé de toutes parts, et que consommé en sainteté et en mérite, il mourut, après avoir aussi dignement rempli l’office de Métropolitain, que celui d’Evêque.
 
 
 
 
 
 
 
 

















Retable nord.
Sculpture représentant St-Fiacre.


On raconte qu’après sa mort, qui arriva dans son monastère de Lan-deilo-Vawi près de Kaet-marden, trois Églises disputèrent à qui aurait l’honneur de posséder son corps ; celle de Landaff, dont il était Évêque ; celle de Lan-deilo-Vawi, où il était décédé, et où il avait longtemps fait sa résidence ordinaire ; et celle de Pennalun dans le Comté de Pelbrock, où ses ancêtres étaient enterrés ; et l’on ajoute, qu’au matin il parut trois corps tous semblables, du même saint, et que le clergé de chacune de ses Églises en prit un ; de sorte qu’il fut enterré dans ces trois lieux. On voit par cet exemple, combien on a été ingénieux à se tromper.
 
 
 
 
 
 
 
 














Vue du chœur.

 
 
 
Il est à croire, que pendant la nuit, quelque vieillard avisé, le même qui vint dire aux peuples qu’il y avait trois corps, avait fait faire trois cercueils de même poids et de même figure, qu’on fit défense d’ouvrir ; ce qui était le moyen de terminer le procès au gré de tous les intérêts ; et avait mis trois différentes parties de ce saint corps en chacun de ces trois cercueils ; ce qui a donné lieu à la fable des trois corps, ou du même corps multiplié. Les miracles néanmoins se firent principalement au tombeau de Landaff. 
 
 
    



 
Sculpture en bois
représentant St-Pierre.

On trouve le nom de ce saint écrit de bien des manières différentes : Teliaux, Teliavus, Thelianus, Teleanus, Thelius, Chelianus, Theillanus, Teyllianus, Teilau, Teilaw, Teylo, et Deilo ; le dernier desquels subsiste dans le nom de Lan-deilo-Vawi, ce qui signifie Eglise du grans saint Deilo. Le P. Philippe Ferrarius, dans le nouveau catalogue des saints qu’il a dressé pour servir de supplément au Martyrologue Romain de Baronius, marque : à Landaff en Angleterre, la fête de saint Telean Evêque, le 25 de novembre. Mais à la qualité d’Evêque il ajoute celle de martyr ; ce qui donne lieu de douter, si c’est de notre saint Theliau dont il est question.  
 
 
 
 
 
 
 










Maison de Pierre Boscher, marchand de toiles
à Saint-Thélo au XVIIIè siècle.

Maison de marchand de toiles. Commune de Saint-Thélo.

Pierre Boscher, sieur de la Ville-Boscher, et Claire-Marie Veillet, originaire de Moncontour, habitaient une maison de marchand de toiles, implantée au cœur du bourg de Saint-Thélo, C’étaient des familles riches et bien sûr aisées unies à d’autres familles nobles de la manufacture de toiles par le mariage de leurs filles, Hélène-Marie, Jeanne et Claire-Marie, avec les grandes familles de notables du commerce du lin. 
 
 
   




Visitez aussi la maison restaurée par l'architecte
japonais Tadashi Kawamata.
Image panoramique réalisée avec 5 images
verticales superposées.



En 1745, Hélène-Marie épousa Charles Fraval, sieur du Penquer (Quintin) et l’année suivante, Jeanne avec François Trévaux, sieur de Fraval (Loudéac). Finalement, en 1750, Claire-Marie est devenue l’épouse de Charles Boscher, sieur de Langle (Moncontour). Avant du mariage, un contrat fut signé où l’on constatait l’apport de plus de 10.000 livres de dot par les demoiselles Boscher.
 
 
  
 



Maison de marchand de toiles en réparation.

Cette maison de Boscher-Veillet bâtie en 1734 est le résultat de l’épanouissement d’un modèle d’architecture en Bretagne, dans la première partie du XVIIIè siècle. Il s’était imposé un plan « à la française » où la symétrie parfaite était présente sur toutes les façades le plus souvent orientées au sud. Les murs étaient construits en schiste, une roche autochtone de la région, utilisée en pierres de petit appareil : les strates devaient être régulières pour éviter le chaînage d’angle. Les blocs granitiques à gros grains étaient utilisés pour l’encadrement des ouvertures afin de colorer autrement la façade. Deux éléments décoratifs de la façade subsistent toujours : le cadran solaire et la niche destinée à accueillir la statue de la vierge ou d’un saint local.
 
 
 
 
 




La vierge Marie éduque l'enfant Jésus.







Verriers. Carmel du Mans.
                                   






Images prises le 1er avril 2014 à Saint-Thélo. 
Côtes d'Armor (22).


©José María Gil Puchol Productions
Photographe à Loudéac 22600

FRANCE

Appuyez financièrement mon travail.

Tous vos dons son acceptés. Compte bancaire
 
 

Your support makes artistic creation possible.  

Support my work financially. 

 All your donations are accepted.  

Bank account

 
 
 
 IBAN:

C. E. BRET. P. DE LOIRE

FR76-1444-5202-0004-7691-1755-844



 
Commandez vos images préférées sur mon site PUCHOL PHOTOGRAPHIE
 
ci-dessous, tous 
 
formats papier et des objets cadeaux:




Regardez mes vidéos sur Youtube.

Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes:

https://www.youtube.com/watch?v=9SKHlxBV6SE&t=613s

 
"Paul McCartney à Montevidéo":

https://www.youtube.com/watch?v=vgz-z6nvcQ0&t=171s
 
 
"L'Abbaye de Beauport"

https://youtu.be/MU5JH8a3_Ow
 
"La Corbinière des Landes"

https://www.youtube.com/watch?v=4W4tNnXzwU4&t=27s 
 

MES PUBLICATIONS CHEZ edilivre.com

"La tranchée des bagnards, L'Abbaye de Beauport, Les monuments mégalithiques en Bretagne, La Vénus de Quinipily, Córcega, La tortilla de madera."





Bibliographie:

Gaultier Du Mottay, Joachim (1810-1883). Géographie départementale des Côtes-du-Nord... par J. Gaultier Du Mottay,... Ed. Vivier,... J. Rousselot,.... 1862. Saint-Brieuc. Guyot Frères Editeurs. Rue Saint-Gilles, 1. 1862.

Lobineau, Histoire des saints de Bretagne, Rennes, 1724.

Société d'émulation des Côtes-d'Armor. Bulletins et mémoires - Société d'émulation des Côtes-du-Nord. Tome LXXII. 1940.

Revue Celtique. Librairie Honoré Champion. Editeur. 5, Quai Malaquais (6è). Vol. XXX. Paris. 1909.

Histoire littéraire de la France. Académie des inscriptions et Belles-lettres. Tome XXXIII. Suite du Quatorzième siècle. Paris. Imprimerie Nationale. 1906.


Pour la vie de saint Eliau et ses noms, v. J. Loth, Annal. Bret., IX, X