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Eglise paroissiale de Saint-Thélo.
Style contre-reforme.
Technique HDR. |
Eglise paroissiale. Commune de Saint-Thélo dans les Côtes d'Armor.
La commune de Saint-Thélo
se trouve au sud de la ville de Saint-Brieuc à 39 km. Elle était habitée par 1501
Thélossiens aux XIXè et par 432 en 2014. Située dans un territoire accidenté et boisé, elle est traversée par de nombreux cours
d'eau. L'église est dédiée à saint Thélo ou Theliaw, évêque auparavant de
Landaff, dans le pays de Galles. Sa fête est célébrée le dimanche qui suit le 9
février. Cette église est du XVII*siècle et possède un beau retable de cette époque.
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Mairie de Saint-Thélo.
Technique HDR. |
Quelques points culminants:
Lebourg,104m; le Canton, 185m.; la Lande-au-Loup, 207m.
Il y a
abondance de schiste talqueux et quarts.
Quelques
maires au cours du temps: en 1790, C. Boscher de Langle ; en 1795 Julien
Gabriel Marquer ; en 1803, G. Boscher de Langle; en 1819 Pierre Boscher de
Langle ; 1829 Jean Baptiste Jouanigot ; en 1834, Duaul; en 1843, Le Mâo; en 1852 Ollitrault ; en 1869, Guillaume Lecoq ; 1936 Victor
Marsoin ; 2001 à 2014 Daniel Le Goff.
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Nef centrale et chœur. |
En forme de
croix, la première pierre fut posée en 1668 et comprend une nef avec bas côtés
de quatre travées et un chœur avec chevet à pans coupés. Au droit de la
dernière travée, deux chapelles en ailes forment les bras de la croix, celle du
sud à peine débordante. La chapelle des fonts est accolée au clocher et
l’église possède un petit porche au nord et un plus important au sud.
La tour porte
le millésime de 1668 et le porche sud celui de 1673 avec les noms de M Olivier
Lecoidic, recteur, et de M Jean Jégo, vicaire. Le chevet n’a été construit
qu’en 1696.
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Vue de la chapelle nord et du retable du choeur. |
Mobilier.
Trois retables
de la fin du XVII siècle, chaire à prêcher portant le nom de Jean Caillibotte (recteur
de 1687 à 1717) ; statues anciennes de Sainte Barbe et de Saint
Laurent ; et, parmi les modernes, de Saint Thélo.
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Sculpture de Sainte-Barbe sur le retable sud. |
L’architecture
de l’église de Saint-Thélo suit le modèle tracé par la Contre-Reforme :
une austérité extérieure contraste avec l’exubérante ornementation à
l’intérieur des autels et des retables sur lesquels se porte l’attention
pendant les célébrations liturgiques.
Sur les
pierres de l’église existent des inscriptions gravées afin de nous orienter sur
le fil du temps : sur la tour du clocher 1668, sur le porche sud 1673, sur
le retable du collatéral sud 1675 et pour le chevet 1696.
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Retable sud.
La Vierge Marie et Jésus.
En hau, Sainte-Barbe. |
Les registres
du conseil paroissial indiquent qu’en 1720 sont envisagés la peinture des
retables, le vitrage des ouvertures et la réfection du plancher. En 1731, bien
que le pavage ne soit pas encore achevé, la chapelle des fonds baptismaux est
en cours de construction. François Glais, l’un des plus riches marchands de
toiles de Saint-Thélo, prendra en charge son financement car il veut qu’elle
devienne la chapelle mortuaire de sa famille. Puis Yves Glais fera élever le
calvaire au nord de l’église en 1732.
Ces dates
couvrent moins d’un siècle (1660 à1730) et correspondent à la période de
prospérité qui se développa sur la région grâce à la fabrication des Toiles
« Bretagne », enrichissant la commune de Saint-Thélo et favorisant
son accroissement. Tant autour du bourg qu’à la campagne, les commerçants prospères ont de quoi bâtir de belles
demeures et se sentent solidaires pour financer l’église et son mobilier, à
l’instar de Pierre Mouliner et Mathurin Rolland, commanditaires du retable
situé dans le collatéral sud.
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Retable du choeur.
Peinture de l'Ascension de Jésus.
Sculptures de Ste-Anne à droite et St-Lubin à gauche.
Technique HDR. |
Saint Thélliau. Evêque et confesseur du VIè siècle.
Je suis le texte de "Histoire littéraire de la France". Voir bibliographie en bas.
On ne saurait
pas dire pour quoi ces deux saints gaulois Saint Teliau, évêque de Llandaff
(Galles), et de saint David, archevêque de l’antique Menevia (Saint David’s),
appartiennent à l’histoire française étant donné qu’ils n’ont eu aucune
popularité en France. Mais quand même, le traducteur de la vie de saint Teliau
s’est nommé et a daté son œuvre. On lit en effet ces mots à la fin de la
version : « Ci fenist la vie de
saint Thelian (sic), translatée de latin » en françois, que mestre
Guillaume des Nés translata l’an mil .iii. et xxv., le jour de saint Michel
Arcange ». Les deux vies se suivent dans l’unique copie que nous en
possédons, et la traduction en est également médiocre ; le style en est
lourd, et les erreurs y sont nombreuses, surtout dans la traduction des noms de
lieux.
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Chapelle nord. |
Néanmoins, le
9 février est honoré en Bretagne Saint Teliau et a donné son nom à cette
commune du département des Côtes-du-Nord appelée Saint-Thélo. Ce culte,
s’agit-il d’un souvenir du séjour de
sept ans et sept mois que ce saint aurait-t-il fait auprès de saint Sanson,
évêque de Dol (Voir Lobineau) ? Est-il dû, par contre, à quelque apport de
reliques dont on n’a, du reste, conservé aucune trace ?
Cependant, ce saint
est présent en Bretagne et pour Saint-Thélo plusieurs noms existent et donnent
leur nom à plusieurs communes.
Nous trouvons
les noms Teliaw (saint) et Eliaw dans : Ple-deliau auj. Pledeliac (Anc
Ev., III, 52 en 1219) ; Landeliau en Plevin (C du N) ; saint Thélo,
en 1181 san Theliaut (Anc. Ev., VI, 141) ; saint Eliau en Bubry
(Morb) ; Landeleau, paroisse du Fin où l’on trouve une statue de saint
Teleau sur un cerf (Bull. C. D. 1901, p. 117). En Landeleau, un dolmen dit Ty Sant Heleau (Ep. Préh., p. 177). Dans
cette paroisse, on trouve aussi Goaremo sant Elau, Gueen sant Elau (arbre de
saint Elau) ; Parc sant Elau bras et bihan.
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Vitrail nord de Saint-Thelo. |
Il y a la
possibilité aussi qu’il y ait eu ici confusion entre deux saints peut-être
différents : Landeloi (cart. Coris. 1396 ; Bull. C. D. 154) ;
Ecclesia sancti Deleui (ibid 1220) ; Lan-telau 1368 (Chrest. 232) ;
cf. Llan-elyw en Pembrokeshire ; Llan-elwy en Denbigshire ;
Llan-dylwyf, qui est bien près de Lan-deloi, en Pembrokeshire (Ree, Essay,
348). En revanche saint Hilio en Saint-Pabu doit être lu Tilio pour Telio.
Galles : L’œuvre de Llandav ne donne pas moins de 25 Lan-Teliau, que plus
tard deviendront Llan-deilo.
Probablement,
les chercheurs ont déjà dévoilé cette confusion.
Pour la vie de Saint-Thélo, j'ai consulté et copié le texte de Lobineau, in "Histoire des saints de Bretagne", Rennes, 1724.
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Vitrail sud de Saint-Guillaume. |
Saint Théliau
était probablement fils d’un noble nommé Enfic, ou Ecnic, du pays des Demetes
ou de Cardigan au Royaume Uni proche parent des Rois, mais il ne semble pas
probale qu’il fût neveu de saint David, fils d’une de ses sœurs, comme l’a dit
Usserius, sans citer de sources fiables.
Cependant,
Usserius cite le registre de Landaff, comme une de ses antiquités de l’Eglise
de Bretagne pour dire que Guen-haf, fille de Linonvi, était la mère de
Saint-Theliau. Ce n’est pas sûr que Theliau soit le premier nom de ce saint, ou
un surnom qu’on lui donna. Les historiens disent qu’il fut appelé Helios, (le Soleil, prononcé par les
Bretons Eliud) à cause des ses vertus, sa science extraordinaire, et son
admirable talent pour la prédication. Mais, à l’envers, il serait possible que
ce nom d’Eliud lui a été donné par allusion à celui de Théliau.
 |
Saint-Joseph et l'enfant Jésus.
Technique HDR. |
Usserius
croit, par le rapport entre les noms d’Eliud, de Theliau, et de Helios, que
saint Theliau pourrait bien être la même personne que saint Samson : car
en arabe et en hebreu Samson signifie aussi le Soleil (Semés) et, continue
Usserius, que les moines Bretons ont donné à leur Helios ou Eliud le nom de
Samson. Cela est invraisemblable car les actes de ces deux saints sont tellement
différents comme de deux personnes entièrement distinctes. Cela dit, on peut
assurer que cette analogie dans leurs noms est le produit du hasard.
Theliau fut
élevé avec beaucoup de soin sous saint Dubrice, et il eut pour compagnon ce
même Samson avec qui Usserius le veut confondre. Il eut ensuite pour maître
saint Paulin disciple de saint Germain d’Auxerre. On dit qu’averti par un Ange,
il accompagna saint David son condisciple dans l’école de Paulin, et saint
Patern, à Jerusalem, et qu’il y fut ordonné Evêque, comme eux, par le
Patriarche. Quelque irrégulière que soit une pareille promotion, elle est expressément
marquée dans les différentes histoires de ces trois Saints, et celle de saint
Theliau rapporte en particulier de lui quelques circonstances qui font voir son
extrême humilité. Il faut dire nécessairement que ces trois Saints avaient été
faits prêtres, avant qu’ils entreprirent le voyage.
 |
Le Sacré-cœur.
Retable sud. |
Theliau revenu
dans son pays, honoré du caractère Episcopal, fut fait Evêque de Landaff par
son maître saint Dubrice, qui se déchargea sur lui du soin de cette Eglise. Il
la gouverna d’une manière si apostolique, que les peuples ne s’aperçurent point
qu’ils eussent changé de pasteur. Le même esprit qui avait conduit saint
Dubrice, agissait en Theliau. L’oraison, la prédication, la pénitence et la
charité étaient comme les seules occupations de sa vie, sans qu’il relâchât
jamais de sa ferveur et de son zèle.
De son temps,
la Cambrie fut cruellement agitée d’une peste, qu’on nomma la peste jaune, ou la jaunisse empestée, en Breton y
gall velen, parce que tous ceux qui en étaient frappés, mouraient
teints de cette couleur. Une nuée fort basse et qui semblait presque traîner
sur terre, comme un brouillard épais et puant, l’engendra dans le pays. Les
hommes et les bestiaux en étaient également saisis et tous ceux qu’elle
attaquait, en mouraient infailliblement. Theliau, dans cette occasion,
s’acquitta fidèlement de tous les devoirs d’un bon pasteur.
 |
Détail de la chaire à prêcher. |
Mais quoiqu’il ne
ménageât ni sa vie, ni ses biens, qu’il distribuait libéralement à tous les
nécessiteux qui étaient attaqués de ce mal, la contagion le respecta toujours,
et l’on aurait dit que le mauvais air le fuyait. Un jour qu’il s’offrait au
Seigneur comme une victime pour son peuple, un Ange lui commanda de quitter le
pays, avec ceux de son troupeau qui le voudraient suivre, et de les avertir
qu’il n’y aurait que la fuite qui pût leur faire éviter la mort. Il obéit
aussitôt, avec une partie de ceux que la contagion avait épargnés. Ils se réfugièrent
tous ensemble dans l’Armorique, d’où quelques-uns entrèrent plus avant dans le
pays.
 |
Nef centrale.
Le Christ crucifié. |
Theliau vint
d’abord voir son beau-frère Budic Comte de Cornouaille et sa sœur la Comtesse
Anaumed, et séjourna quelques mois chez eux ; mais préférant la compagnie
des saints à celle des grands, il fut trouver à Dol son ami saint Samson et
demeura sept ans et sept mois avec lui. On dit qu’il porta ce saint à planter
le bois qui occupait autrefois toute la vallée de Dol, et qui avait trois
lieues de long, et fut, à cause de lui, nommé le bois saint Théliau.
 |
Sainte Marguerite de Lisieux. |
Après que la
peste eut cessé dans la Cambrie, saint Theliau y retourna et y ramena son
peuple. Il y fut, peu de temps après, honoré de la dignité de Métropolitain, à
la place de saint David, à qui la peste avait empêché de donner plutôt un
successeur. On ne dit point combien de temps le saint vécut après son retour.
On marque seulement qu’il eut un très grand soin de faire revenir son peuple
dispersé de toutes parts, et que consommé en sainteté et en mérite, il mourut,
après avoir aussi dignement rempli l’office de Métropolitain, que celui
d’Evêque.
 |
Retable nord.
Sculpture représentant St-Fiacre. |
On raconte
qu’après sa mort, qui arriva dans son monastère de Lan-deilo-Vawi près de
Kaet-marden, trois Églises disputèrent à qui aurait l’honneur de posséder son corps ;
celle de Landaff, dont il était Évêque ; celle de Lan-deilo-Vawi, où il
était décédé, et où il avait longtemps fait sa résidence ordinaire ; et
celle de Pennalun dans le Comté de Pelbrock, où ses ancêtres étaient
enterrés ; et l’on ajoute, qu’au matin il parut trois corps tous
semblables, du même saint, et que le clergé de chacune de ses Églises en prit
un ; de sorte qu’il fut enterré dans ces trois lieux. On voit par cet
exemple, combien on a été ingénieux à se tromper.
 |
Vue du chœur. |
Il est à croire, que pendant la
nuit, quelque vieillard avisé, le même qui vint dire aux peuples qu’il y avait
trois corps, avait fait faire trois cercueils de même poids et de même figure,
qu’on fit défense d’ouvrir ; ce qui était le moyen de terminer le procès
au gré de tous les intérêts ; et avait mis trois différentes parties de ce
saint corps en chacun de ces trois cercueils ; ce qui a donné lieu à la
fable des trois corps, ou du même corps multiplié. Les miracles néanmoins se
firent principalement au tombeau de Landaff.
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Sculpture en bois
représentant St-Pierre. |
On trouve le
nom de ce saint écrit de bien des manières différentes : Teliaux,
Teliavus, Thelianus, Teleanus, Thelius, Chelianus, Theillanus, Teyllianus,
Teilau, Teilaw, Teylo, et Deilo ; le dernier desquels subsiste dans le nom
de Lan-deilo-Vawi, ce qui signifie Eglise
du grans saint Deilo. Le P. Philippe Ferrarius, dans le nouveau catalogue
des saints qu’il a dressé pour servir de supplément au Martyrologue Romain de
Baronius, marque : à Landaff en Angleterre, la fête de saint Telean
Evêque, le 25 de novembre. Mais à la qualité d’Evêque il ajoute celle de
martyr ; ce qui donne lieu de douter, si c’est de notre saint Theliau dont
il est question.
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Maison de Pierre Boscher, marchand de toiles
à Saint-Thélo au XVIIIè siècle. |
Maison de marchand de toiles. Commune de Saint-Thélo.
Pierre
Boscher, sieur de la Ville-Boscher, et Claire-Marie Veillet, originaire de
Moncontour, habitaient une maison de marchand de toiles, implantée au cœur du
bourg de Saint-Thélo, C’étaient des familles riches et bien sûr aisées unies à
d’autres familles nobles de la manufacture de toiles par le mariage de leurs filles,
Hélène-Marie, Jeanne et Claire-Marie, avec les grandes familles de notables du
commerce du lin.
 |
Visitez aussi la maison restaurée par l'architecte
japonais Tadashi Kawamata.
Image panoramique réalisée avec 5 images
verticales superposées. |
En 1745, Hélène-Marie épousa Charles Fraval, sieur du Penquer
(Quintin) et l’année suivante, Jeanne avec François Trévaux, sieur de Fraval
(Loudéac). Finalement, en 1750, Claire-Marie est devenue l’épouse de Charles
Boscher, sieur de Langle (Moncontour). Avant du mariage, un contrat fut signé
où l’on constatait l’apport de plus de 10.000 livres de dot par les demoiselles
Boscher.
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Maison de marchand de toiles en réparation. |
Cette maison
de Boscher-Veillet bâtie en 1734 est le résultat de l’épanouissement d’un
modèle d’architecture en Bretagne, dans la première partie du XVIIIè siècle. Il
s’était imposé un plan « à la
française » où la symétrie parfaite était présente sur toutes les
façades le plus souvent orientées au sud. Les murs étaient construits en
schiste, une roche autochtone de la région, utilisée en pierres de petit
appareil : les strates devaient être régulières pour éviter le chaînage
d’angle. Les blocs granitiques à gros grains étaient utilisés pour
l’encadrement des ouvertures afin de colorer autrement la façade. Deux éléments
décoratifs de la façade subsistent toujours : le cadran solaire et la
niche destinée à accueillir la statue de la vierge ou d’un saint local.
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La vierge Marie éduque l'enfant Jésus. |
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Verriers. Carmel du Mans. |
Images prises le 1er avril 2014 à Saint-Thélo.
Côtes d'Armor (22).
©José María Gil Puchol Productions
Photographe à Loudéac 22600
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MES PUBLICATIONS CHEZ edilivre.com
"La tranchée des bagnards,
L'Abbaye de Beauport, Les monuments mégalithiques en Bretagne, La Vénus de
Quinipily, Córcega, La tortilla de madera."
Bibliographie:
Gaultier Du Mottay, Joachim (1810-1883). Géographie
départementale des Côtes-du-Nord... par J. Gaultier Du Mottay,... Ed.
Vivier,... J. Rousselot,.... 1862. Saint-Brieuc. Guyot Frères Editeurs. Rue
Saint-Gilles, 1. 1862.
Lobineau, Histoire des saints de Bretagne, Rennes, 1724.
Société d'émulation des
Côtes-d'Armor. Bulletins et mémoires - Société d'émulation des Côtes-du-Nord. Tome
LXXII. 1940.
Revue Celtique. Librairie Honoré
Champion. Editeur. 5, Quai Malaquais (6è). Vol. XXX. Paris. 1909.
Histoire littéraire de la France.
Académie des inscriptions et Belles-lettres. Tome XXXIII. Suite du Quatorzième
siècle. Paris. Imprimerie Nationale. 1906.
Pour la vie de saint Eliau et ses noms, v. J. Loth,
Annal. Bret., IX, X